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Dossier thyroïde | Le gras nous empêche de guérir

Rétablir la santé de la thyroïde en évitant les gras

thyroïde gras

Il est absolument crucial de maintenir les graisses alimentaires (bons gras inclus) à un faible niveau.


Comme la plupart d’entre nous mangeons trop de gras dès le départ, il n’y a aucun risque de manquer de gras et nous ne sommes pas malades ou pris avec des symptômes par carence en gras. En réalité, le gras nous empêche de guérir, de perdre du poids et d’atteindre un niveau de santé durable.

Le gras empêche le foie de se détoxifier, épaissit le sang et force nos surrénales à produire de l’adrénaline pour liquéfier le sang afin que le cœur n’ait pas à trop forcer pour pomper. À l'exception, qu'en retour cette adrénaline, acide et corrosive doit être absorbée par le foie, ce qui le congestionne encore plus, l’empêche de faire sa « détox » et de remplir ses 2000 autres fonctions.


Lorsque le sang est plus fluide, les poisons peuvent plus facilement émerger des tissus et pénétrer librement dans la circulation sanguine. Donc, si on élimine le gras, que notre sang devient plus fluide et qu’en plus on ajoute des nutriments curatifs ou réparateurs, des aliments guérissants, nous donnons à nos cellules la capacité de transporter les toxines hors du corps et de commencer à réparer les dommages causés par les agents pathogènes, métaux et autres poisons.


Il existe beaucoup de confusion à propos du gras. Bons gras, mauvais gras, gras animal, gras végétal, comment s’y retrouver et surtout, est-il nécessaire pour guérir?

Petit retour sur les fonctions du foie. Quand on mange du gras, le foie doit déverser une certaine quantité de bile pour digérer et émulsifier le gras. Plus il y a de gras, plus le foie doit produire de la bile. Plus on mange de gras, plus le foie doit s’épuiser à produire la bile.

Ce travail lui demande un certain effort qui, à la longue, va épuiser les réserves du foie, va affecter la production de bile, va diminuer les réserves, puis va congestionner le foie qui devient lent et gras. À ce moment, c’est le début des symptômes : des chaleurs, des palpitations, de la fatigue, des gaz, des ballonnements, les reflux gastriques, constipation, des problèmes de peau, des douleurs, le poids qui augmente. Un foie congestionné et surchargé peut mener à n'importe quel symptôme ou condition.


Ici, je veux mettre mon attention sur ce qui se passe lorsqu’on mange du gras. Que ce soit votre avocat ou du beurre d’arachide sur une rôtie, du beurre d’amande ou du cacao dans votre smoothie, des noix et graines dans votre bol de smoothie ou gruau, du lait de coco, des œufs, du fromage, du beurre, du jambon, du bacon, etc. Gras végétal ou animal, ça ne fait aucune différence pour le foie. Du gras, c’est du gras et le foie doit produire la bile. La chose est que lorsque le foie reçoit une dose de gras et qu’il se met à produire la bile pour digérer tout ça, il doit arrêter son processus de détoxification et de nettoyage. Donc les déchets qui ne sont pas éliminés s’accumulent pour le lendemain. Et si le lendemain on fait la même chose, ce sont des années d’accumulations de déchets qui finissent par nous rendre malades au fil du temps.

thyroïde et gras

Cette étape de détox est cruciale pour guérir et pour conserver notre santé.


Je ne dis pas que tous ces gras ne sont pas bons. Bien sûr, lorsqu’on veut manger du gras, un avocat, du lait de coco ou des noix sont de bons gras pour nous. Cependant, dans le menu 7 jours/0 gras on s’abstiendra de tous les gras ajoutés.


On ne peut pas être plus en santé que notre foie!

Sans compter que les surrénales doivent produire une bonne quantité d’adrénaline pour liquéfier le sang épaissi par le gras. L’adrénaline est corrosive de nature et est absorbée par le foie, ce qui le congestionne encore plus. Sans parler du café qui, en plus d’être gras et acidifiant, contient de la caféine qui crée une montée d’adrénaline par les surrénales.

Tous ces facteurs réunis font que le foie ne peut effectuer son travail de nettoyage en profondeur, c’est-à-dire aller au cœur même de ce qui rend les gens malades.

C’est pourquoi il est tellement important de pratiquer le rituel du matin, tous les jours idéalement, sinon le plus souvent possible. Ceci est la clé numéro un si votre santé vous tient à cœur !


LA CONNEXION GRAS-PROTÉINE ET LE MYTHE DES PROTÉINES


Le mythe des protéines est très tenace. Partout, tout le monde parle de l'importance des protéines. Les protéines jouent des rôles clés dans notre organisme, notamment pour rebâtir, reconstruire et régénérer les cellules et les tissus du corps tels que les muscles, les enzymes, les hormones et les membranes cellulaires. Elles sont aussi essentielles pour la croissance, la fabrication des globules rouges et des cellules immunitaires, l’équilibre de la glande thyroïde et le maintien de la glycémie. De plus, elles aident à transporter le calcium dans le sang et à réduire les envies de sucre.


Alors qu'il est rare que nous manquions de protéines, il est plus courant de souffrir de carences en vitamine B12, en fer et en coenzyme, nutriments essentiels souvent mieux assimilés à partir des végétaux. Ces nutriments sont vitaux pour l'assimilation efficace des protéines.


Prenons l'exemple de la pousse de tournesol, une source végétale de protéines. Riche en eau et vivante, elle possède une charge bioélectrique. Les aliments vivants contiennent des ions négatifs et un champ électromagnétique, contribuant ainsi à maintenir notre corps en bonne santé. La pousse vient de la terre et capte les ions négatifs qui y sont présents, facilitant la guérison. Nous sommes entourés d’ions positifs : téléphones cellulaires, ordinateurs, tablettes, micro-ondes, etc. Ce bombardement d’ions positifs nous agresse souvent sans que nous le sachions et nous rend progressivement malades.

Des millions de personnes à travers le monde souffrent de maladies chroniques et de symptômes dont la cause est souvent méconnue, rendant difficile l’administration d’un traitement approprié.


Le mythe des protéines s'est propagé vers 1930, lorsque l'industrie alimentaire a commencé à promouvoir les protéines. Rapidement, les protéines sont devenues un sujet de conversation courant. Peu importe les intentions de l'industrie alimentaire, la confusion s’est installée chez les consommateurs, créant une phobie autour de la consommation de protéines.


Une industrie axée sur la santé encouragerait la consommation accrue de fruits, de légumes et d'aliments riches en vitamines, minéraux et autres nutriments essentiels.

Étrangement, c'est à partir de 1940 que les cabinets médicaux ont commencé à être inondés de patients, surtout des femmes, aux prises avec la dépression, l’anxiété et d’autres symptômes. On leur disait souvent que leurs problèmes étaient hormonaux ou psychosomatiques. Le corps médical était souvent dépourvu de solutions.

Regardez autour de vous… Les protéines n'ont jamais guéri personne. Si nous souffrons de malaises, symptômes, ou maladies chroniques, cela n'est pas dû à une carence en protéines.

Il est crucial de clarifier les informations erronées véhiculées à propos des protéines, car l'obsession des protéines est ce qui maintient les gens malades.


Le foie et les protéines

En réalité, ce dont le corps a besoin, ce ne sont pas tant les protéines alimentaires, mais plutôt celles produites par le foie.

Encore une fois, bravo au foie ! C’est lui qui est chargé de produire les protéines que le corps reconnaît et utilise. La plupart des protéines que le foie fabrique proviennent des fruits, des légumes et des verdures.


LA CONNEXSION GRAS-PROTÉINE


Un des plus grands problèmes liés au mythe des protéines est la croyance qu'une alimentation riche en protéines est bénéfique. Inévitablement, une telle alimentation est également riche en gras, ce qui ne peut aller l'un sans l'autre.

Avec le temps, nous avons appris qu'une alimentation riche en gras est nocive pour la santé. Le gras rend le sang épais et toxique, rendant presque impossible pour le corps d'éliminer les virus, bactéries, métaux lourds et autres toxines responsables des maladies chroniques et des divers symptômes et troubles pathologiques, y compris ceux de la glande thyroïde.

Que ce soit les migraines, l'eczéma, le psoriasis, les problèmes de poids, les infections urinaires ou vaginales, l'acné, les engourdissements, les étourdissements, les acouphènes, la fatigue chronique, la sclérose en plaques, l'arthrite, le lupus, les troubles de la glande thyroïde, le diabète, etc., ces conditions n'ont rien à voir avec une carence en protéines.

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